5 octobre, plateau du Waterberg

Ce matin, une promenade est prévue dans la montagne voisine, sur le plateau du Waterberg. La journée s'annonce bien puisque nous avons assisté au coucher de lune sur la montagne avec à l'opposé le lever de soleil, superbe image immortalisée par Raymond.

 

Le tracé de la balade est très imprécis ; il nous faudra « sentir » le sentier pour suivre les traces des pionniers. La vue sur l’immense plaine à nos pieds est superbe, les couleurs vont du vert foncé au jaune paille. Tout autour de nous les oiseaux chantent. Mais pour ce qui est de les photographier, c’est une autre paire de manches comme l’on dit.  Nous ferons ce que nous pourrons.

 

Raymond se fait piquer à deux reprises par de bien vilains insectes et de taille respectable en plus ! Surveillance des piqures par Vanessa pour voir si elles n’enflent pas. Heureusement pas de conséquence, même quelques heures plus tard.

 

Au retour à l’entrée du camp, deux écureuils mangent. Tentative vaine de photo. Nous ne bougeons plus afin de les habituer à notre présence. Raymond avance à pas lents vers eux. Ils sont mis en confiance et nous pourrons ainsi les placer dans la petite boite noire. Belles photos assurées. Puis apeurés par une tierce personne, ils s’enfuient dans leur… terrier. Ce sont en effet des écureuils qui s’enterrent !

 

Repas de midi au resto local où nous mangeons pour moins de 15€ pour deux ! Ensuite piscine. Trois niveaux, trois profondeurs. Une eau délicieusement chaude. Le pied ! La belle vie quoi, et loin de l’image d’Epinal que l’on peut se faire de la Namibie profonde. Nous terminons la journée par un bon verre au bar et sous toit de chaume, en regardant l’immensité de la plaine dominée par le Waterberg plateau.

 

Le soir nous profitons du ciel dégagé pour observer les étoiles et la voie lactée qui se laisse malgré tout un peu désirer.

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